Marie-Veronique JALON

La disparition aussi soudaine de Maïc m'affecte beaucoup. Je me fais l'interprète de mes frères et soeurs : Christiane, Didier, Bertrand, Evelyne, Guy, Patrice et Pierre Michalon pour vous dire toute notre affection à vous Bruno, vos enfants et petits enfants ainsi qu'à la famille Tissandier, Claude, François et Philippe.
Nous nous étions retrouvées avec Maïc à mon retour à Lyon, nous avions évoqués nos souvenirs d'enfance de vacances à Thonon, Chonas et Vienne avec nos parents respectifs et nos frères et soeurs.
Plusieurs fois par an nous avions institué un repas des "viennoises" avec Marie-Agnès, Béatrice, Christine, Evelyne, Catherine et moi. Maïc va beaucoup nous manquer.
De tout coeur avec vous.
Huguette Michalon

Pour vous Pauline et Quentin
J espère que les bons souvenirs de votre grand.mere vous apporteront du réconfort pendant ce moment difficile de votre vie .
Puisse son âme reposer en paix .
Je pense très très fort à vous j aurai tant aimé être auprès de vous. Je vous aime
Toutes mes condoléances à votre grand père Lydie et Laurent
Suzy

Maïc, ton départ soudain et calme est à l’image de ta vie menée avec brio et sagesse. Je garde en moi ton sourire, ton soutien bienveillant et ton allant. Je t’associe à ta chère amie Danièle avec laquelle nous allions aux petites conférences sur l’art de Melle Fromente. Ton cœur reste tourné vers la Beauté , la Joie et la Lumière. Nous saurons t’y trouver.
Avec toute mon affection et mes prières pour toi, ton mari Bruno, vos enfants et tous les votres.

Ma chère Maïc, j’entends ta voix dans mon oreille, notre dernière conversation, je ressens ton inquiétude pour Mireille et Olivier et surtout ton amitié pour eux. Merci Maïc pour nos vies heureuses et merveilleuses, en famille avec Bruno et les garçons, tous les étés au soleil au bord de la Méditerranée. Tu es comme le soleil, lumière vitale qui fait grandir et permet l’épanouissement et la vie. Tu fais partie de ma vie depuis près de 40 ans et tu es si intrinsèquement liée à nous que tu es, ainsi que tes hommes, pour toujours ma famille. Merci d’être cette femme éblouissante qui, aux côtés de Renée FissTock et de Mireille, incarnait l’âme de la plage du Gaou et en faisait son intérêt, son port d’attache et nous offrait la chance de parler, partager tout, rire et même fumer des clopes tandis que l’eau salée ruisselait après le bain. Sous le soleil. Tu as été complice et bienveillante et une amie hors du commun. Merci d’être courageusement restée, jusqu’au bout, l’amie fidèle de Mireille quand la maladie l’a transformée, merci d’être toujours restée attentive et aimante, dans nos vies, dans la peine et les difficultés aussi. Je me régale intérieurement de tes intonations, réactions, et surtout je sens sur moi et sur le monde que tu embrasses ton regard plein d’intelligence malicieuse, ton œil coquin et ton petit sourire qui laissent la place à la connivence et la proximité, au rire toujours. Tu sais partager tes questions passionnantes et réflexions libres et ouvertes, les passions qui t’animent et les blessures qui te font mal, et tu parles d’art comme tu respires. Il y a de l’or dans ton regard et ton sourire nous embrasse. Merci d’avoir partagé avec moi ton expérience et tes rôles de fille, mère et amie, à travers le temps et les épreuves. Merci d’avoir été le cœur des Jalon, comme Mireille était celui des Meyer. Vous avez décidé de partir toutes les deux, complices et amies jusqu’au bout, continuant vos conversations, et de nous planter là.
Tes appels vont me manquer. La vie perd une saveur irremplaçable. Merci pour ton amour Maïc. Je te garde en moi désormais.
Nous serons là pour Bruno, Stéphane, Laurent et Julien.
Tes amis, Catherine avec Mireille et Olivier, Sandrine et Julien Meyer.